Un adulte devient bébé adulte dans les Alpes et découvre la tendresse

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il y a 7 ans

Lucas est un jeune homme des campagnes. Il est parfaitement ordinaire et banal, enfin, à une différence près : la fessée. Elle a longtemps fait parti de sa vie. La fessée, il l'aimait pour ce qu'il voyait en elle : une preuve d'affection, aussi dure soit-elle. Elles étaient les seules marques d’attention de sa tante et de son oncle. Étant parrains, ils l’avaient recueilli au décès de ses parents.

Alors qu'il grandit, tout semble aller pour le mieux. Il aide à la ferme en guise de travail. Pour un jeune homme qui n'a jamais connu que les larmes, la douleur, la honte et le dur amour de ses parrains, la fessée n'évoque en lui que crainte et soumission. Mais devenir adulte n'est pas sans conséquences. Et un jour, durant une énième séance de cuisante correction, pour avoir laissé s’échapper les vaches et cela malgré sa majorité, sa sexualité se réveille. Au pire moment ! Alors qu’il se relève et frotte ses fesses, son sexe est tendu. Le scandale éclate aussitôt. Consigné en chambre, il les entend discuter et se disputer.

  • Ce n’est pas possible ! Crie sa marraine. Il doit partir maintenant.

  • On va faire comment pour la ferme ? Hurle son parrain.

  • Il doit trouver un travail, une femme qui veuille de lui et quitter la maison. Je ne peux pas supporter ça.

Une semaine plus tard, le soir après la soupe, ses parrains lui expliquent qu’ils ont trouvé un emploi aux Allues, une petite ville des Alpes. Il va aller chez une de leurs amies tenant une boutique de prêt-à-porter.

  • Comme elle peut t’héberger cela sera pratique pour toi. Tu pourras démarrer dans la vie entre de bonnes mains. Veuve, elle peine à tout gérer. Déneiger l’hiver, entretenir les chalets et gérer la boutique, elle ne peut pas tout gérer. Comme c’est une petite ville, tu pourras rencontrer des filles puisque maintenant tu es un homme.

La chose ne tarde pas. Le lendemain, un vieux J7 descend la montagne, à son bord, son parrain et Lucas regardant défiler le paysage sans rien dire. Derrière eux, derrière les caisses de fromage, il y a deux gros sacs et une valise, toutes ses affaires. Alors qu’ils approchent de la ville, son parrain lui fait la morale.

  • Ne nous déçoit pas, travaille dur et ne manque pas de respect à Louise. Elle est de la vieille école. Te flanquer une fessée ne la gênera pas. Et si cela ne suffit pas, je viendrai m’occuper de toi.

L’installation chez Louise se fait rapidement. Décharger puis ranger deux sacs et une valise prend peu de temps. Lucas est un peu perdu, déboussolé. Il se sent abandonné. Il ne lui était pas venu à l’idée de refuser, on ne dit pas non chez ses parrains. Le soir après la soupe, Louise essaye de le consoler, de lui expliquer qu’une nouvelle vie démarre pour lui.

  • Pourquoi m’ont-il abandonné ? Crie Lucas avant de fondre en larmes.

Louise tente de lui expliquer que la vie n’est pas chez ses parents, qu’il doit prendre son envol comme les oiseaux quittant leur nid. En vain. Il est inconsolable, ses yeux continuent de couler. Émue, elle le prend par la main pour le guider vers le canapé du salon. Au lieu de lui donner une fessée pour l’endurcir, elle le prend dans ses bras pour le câliner et le bercer. Cette attitude est très perturbante pour Lucas. Il n’a jamais connu un tel geste d’affection, d’attention. La tête posée contre la forte poitrine de Louise, il n’ose plus bouger, à peine respirer. Elle caresse ses cheveux en douceur, lui dit que cela va aller, que.....

Épuisé comme s’il avait trait toutes les vaches et fait toutes les étables seul, Lucas s’endort quasiment de suite dans sa nouvelle chambre. Les émotions ont eu raison de lui. La catastrophe se déroule dans son sommeil. Lorsque Louise tape à sa porte, en se réveillant en sursaut, il découvre que son lit est trempé. La bérézina s’installe dans sa tête, il a pissé au lit. Ravagé par la honte et la peur, il ne sait comment agir. Son premier réflexe est de le cacher et de rabattre la couverture pour masquer la tache. Sans même passer par la salle de bain tout aussi glacée que sa chambre, il s’habille à la va vite et descend à la cuisine. Louise lui explique son travail. Puis avant de le conduire aux chalets, elle lui indique qu’ils vont passer par la boutique, afin de lui trouver des vêtements convenables pour accueillir les touristes. Pour essayer un pantalon, il est obligé de se mettre en slip, l’horreur ! Il lui demande si il peut le faire seul. Louise rigole puis lui explique qu’elle a l’habitude de voir ses clients en petite tenue, qu’il ne doit pas être gêné. La vendeuse du samedi ne les regarde pas, elle est affairée à ranger des pulls.

  • Aller, presse-toi, il faut que nous y soyons avant dix heures ! Lui répond Louise sans bouger d’un pouce.

Même s’il tourne le dos, en voyant la couleur du caleçon initialement blanc, le doute vient à Louise. Est-il sale où a t’il un problème ? Elle ne dit rien et garde ses pensées pour elle. Par chance, le pantalon lui va bien, il n’y a pas d’ourlet à faire. Le reste des essayages se passe sans encombre, c’est vêtu de neuf qu’ils se rendent aux chalets. Il la suit partout et doit se rappeler de ce qu’elle fait, de ce qu’elle explique aux arrivants. De retour à la maison, elle l’envoie prendre une douche et se rend dans sa chambre. En tirant la couverture, elle découvre que le lit est trempé. Pendant le repas, la discussion sur le problème constaté est extrêmement humiliante pour Lucas. Il jure que cela ne lui était jamais arrivé. Louise insiste pour savoir si c’est vrai, il n’en démord pas. L’énorme problème est que dans la nuit suivante, la catastrophe se reproduit dans des draps propres. Pendant le petit déjeuner, à la réponse de Lucas, elle comprend qu’il lui ment et qu’il a encore pissé au lit.

  • Que tu ais un problème est une chose, que tu me mentes en est une autre. Comment puis-je te faire confiance ?

  • Je te jure que cela ne m’est jamais arrivé. je ne sais pas ce qu’il m’arrive ! Répond Lucas submergé de honte, la tête dans son bol pour ne pas la regarder, ne pas voir ses yeux inquisiteurs.

  • Nous réglerons ça ce soir, il faut que j’aille ouvrir la boutique. En attendant, démonte le lit et aère bien. Tu ne le referas avec des draps propres que ce soir. Passe le balai et fait le ménage avant de me rejoindre. S’il y a des clients, tu attends dans la réserve.

Si la journée se déroule sans encombre, le soir au moment d’aller se coucher ........

  • Je viens te coucher, nous allons résoudre le problème de tes pipis au lit. J’ai hélas l’expérience de l’incontinence, mon défunt mari avait le cancer de la prostate.

  • Mais je n’ai pas de problème ! C’est un accident.

  • Peut-être mais je ne peux pas changer et laver les draps tous les jours. En plus cela ne sèche pas facilement en cette saison.

Cinq minutes plus tard, Louise débarque dans sa chambre avec une couche et une culotte en plastique.

  • Tu vas mettre ça cette nuit. Si tu pisses au lit, on ne sera pas embêtés. C’était à mon mari, je n’aurai jamais cru que cela resservirait. Comme quoi, il ne faut rien jeter.

A son regard décomposé, Louise sent qu’il ne va pas la mettre. Le ton monte dans les échanges, les yeux recommencent à couler. Elle n’en démord pas et ne sortira que quand il l’aura mise. Louise accepte de retourner le temps qu’il la mette, n’ayant jamais mis de couche, c’est une catastrophe. Décidée comme une femme des montagnes, elle le pousse sur le lit pour lui mettre sa protection comme il faut. Il se rebelle, une claque s’abat sur sa cuisse, la promesse d’une fessée le bloque net. Lucas cède et se laisse langer en pleurant comme un gamin.

Devant les ruisseaux de larmes, une fois langé, équipé de sa culotte en plastique et couché, Louise s’allonge contre lui par dessus la couverture. Comme prise d’un instinct maternel, elle le serre contre sa poitrine et le berce en lui disant des mots apaisants. Pour Lucas, c’est à nouveau un choc, jamais il n’a eu un câlin au lit. Ce moment de douceur et d’apaisement dure un peu, le nez presque dans les seins de Louise, quelque chose se passe dans sa couche, son sexe réagit malgré lui. L’éveil des sens le perturbe. Il se sent tout drôle. Il la serre fortement dans ses bras comme s’il ne voulait pas qu’elle parte.

Cette tendresse et cette étreinte perturbent aussi Louise. Sans mari, c’est quelque chose qu’elle n’a plus depuis longtemps. Sans e n f a n t, elle n’a pas pu câliner, son instinct maternel surgit du passé. Elle renforce son étreinte sans même s’en rendre compte. Perturbée lorsqu’elle prend conscience de ce besoin de douceur, elle se lève, lui fait un bisous sur le front avant de quitter la chambre et de lui souhaiter bonne nuit. A peine la porte fermée, Lucas plonge sa main dans sa couche. Il est tout dur, plié entre ses cuisses, ses doigts le caressent, l’effet empire.

Cette nuit là, il peine à trouver le sommeil. Lorsque l’envie d’uriner pointe son nez, il s’apprête à se lever pour aller aux toilettes comme il l’a toujours fait. Soudain, il lui revient en mémoire les câlins, ses fameux câlins qui lui ont tant manqué. Si il va aux toilettes, demain il n’aura pas la couche. Oui mais, si il va aux toilettes, demain il n’aura pas les câlins. Son impérieux besoin de tendresse le pousse à l’impensable : se faire dessus.

Si la chose est pensée, la réalisation est plus difficile. Il met plus d’une heure à y parvenir. Lors de cet instant de libération, Lucas découvre des sensations et un plaisir nouveau. C’est bon, c’est doux, c’est chaud. En plus, il aura encore des câlins demain. Que du bonheur.

Le lever n’est pas aussi agréable que le coucher. Lorsqu’il arrive en pyjama à la cuisine, comme il ne répond pas à la question gênante, agacée, Louise envoie la main entre ses jambes au niveau des fesses.

  • Tu vois que l’on a bien fait de te mettre une couche !

Envoyé à la salle de bain, il doit se débrouiller seul pour la retirer avant de se laver. Son sexe se remet à pointer malgré le froid. Une heure plus tard, il est monté aux chalets. Sa mission est de faire le ménage, il s’acharne à la tâche pour ne pas la décevoir. Il travaille dur et range même le bois bien aligné devant chaque chalet. Après avoir fermé sa boutique, Louise monte voir s’il a fait son travail comme il faut. Ravie par ce qu’elle découvre, elle rentre à la maison où elle le félicite.

La séance du coucher se reproduit sans qu’il n’oppose la moindre résistance. Louise essaye de lui apprendre à mettre sa couche tout seul, Lucas ne semble pas très motivé pour apprendre. La protection et la culotte en plastique posées, alors qu’elle s’apprête à sortir de la chambre, Lucas lui tend les bras. Devant l’absence de réaction, il réclame un câlin en lui disant qu’il n’en n’avait jamais eu avant de venir ici. Touchée par ses mots, Louise monte sur le lit et s’installe pour le câliner un peu.

Quinze jours plus tard, la pose des protections et le câlins sont devenus un rituel. Un soir, pour rigoler, Lucas suce son pouce en lui disant qu’il est heureux comme un bébé. Ce qu’il ne peut savoir c’est qu’il vient de fendre le coeur de Louise. Elle a tellement rêvé d’en avoir un. Ce soir là, le câlin s’éternise, les étreintes se font maintenant sans pudeur.

La dérive pointe son nez lorsqu’il attrape la grippe. Les médicaments c’est bien, mais le cataplasme des anciens aussi. Louise le materne deux fois plus. Devant ses difficultés à se lever, elle lui monte ses repas et lui mets des protections en permanence. Hormis pour aller à la selle, il a le droit de se laisser aller, les escaliers des étages sont trop dangereux dans son état. Comme il a renversé son verre d’eau dans le lit, l’idée lui vient de lui acheter un biberon, au point où ils en sont..... Le soir même, assise contre le mur dans le lit, elle agit comme s’il était un bébé en le lui donnant. La douceur de l’instant est magique pour tous les deux. le lendemain, elle rachète des couches, le stock de son mari ayant fondu à vu d’oeil. Elle prend aussi de la crème pour bébé, il commence à être irrité. Le maigre repas consommé, elle lui change sa couche mais ne ferme pas celle qu’elle vient de glisser sous ses fesses.

  • Il faut mettre de la crème pour la peau, tu commences à être irrité. Lui indique Louise en lui tendant le tube.

  • Je ne sais pas faire.

  • Arrête tes bêtises, il n’y a rien de difficile.

  • Non, c’est toi qui le fait comme devait le faire maman quand j’étais petit.

  • .......

Louise reste sans voix. Son coeur se serre. Cela lui rappelle son mari quand il était en phase terminale et le bébé qu’elle n’a jamais eu. Étant du type énergique, elle s’attelle à la chose méthodiquement. En prenant conscience que le sexe de Lucas commence à grossir, elle presse le mouvement et ferme rapidement la couche. A la fin du biberon, Lucas laisse parler son coeur.

  • Je t’aime. Tu es la plus gentille et la plus douce des femmes. J’aurai tant aimé que tu sois ma maman. Lui dit Lucas en posant ses lèvres sur celles de Louise.

Très perturbée par ce rapide baiser, elle ne tarde pas à quitter la chambre. Cela va faire quinze ans qu’on ne l’a pas embrassée. Ce n’est pas qu’elle manque de sexe qui la trouble, ce sont les étreintes, la tendresse et cet amour qui se dégage de Lucas. Elle a beau se dire que ce n’est pas bien, que ce n’est pas convenable, c’est plus fort qu’elle, le rituel du soir s’est installé. Même après la grippe, le biberon est entré dans les habitudes. C’est à cause d’un commercial venu lui vendre des produits faisant rage auprès des jeunes, qu’elle a osé l’impensable. Louise en a prise une dans son stock, elle l’a cachée dans des sacs et l’a ramenée à la maison.

  • J’ai une surprise pour toi. Cela va peut-être te surprendre mais il parait que les jeunes adorent ça. J’en ai déjà vendue deux aujourd’hui. Dit Louise en lui tendant un paquet.

  • Un cadeau ? Mais ce n’est pas Noël !

  • On peut faire des cadeaux même si ce n’est pas Noël ! Lui répond Louise soudain très gênée en se mettant à douter sur son idée.

Pressé par l’impatience, Lucas déchire presque sauvagement le paquet et découvre un vêtement comme cadeau. Il le frotte contre son visage en affichant un sourire radieux.

  • C’est doux, c’est beau mais c’est quoi ?

  • C’est une grenouillère. Cela permet d’avoir bien chaud et cela doit être très confortable. Tu veux l’essayer ?

  • Oh oui ! Répond Lucas en rejetant la couverture.

Aidé par Louise, il enfile la grenouillère éléphant. Elle a une capuche qui se rabat sur la tête. En le voyant appuyer son visage émerveillé contre son épaule pour en apprécier la douceur, elle est soudain très émue. Quand il se jette sur elle pour l’étreindre et lui faire des bisous accompagnés de milles mercis, les larmes leur montent aux yeux.

Comme Lucas va beaucoup mieux, il a le droit de descendre dîner en bas. Le repas terminé, ils s’endorment lovés l’un contre l’autre sur le canapé devant la télévision. Lucas en grenouillère n’a pas lâché son biberon. Le bonheur s’installe dans une maison des Alpes avec l’arrivé d’un bébé adulte et d’une nurse qui se découvre.

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